
Les jeux et les larmes de Jacky, par Jacques Levy
Les jeux et les larmes de Jacky
Dans la cour de la « Caserne », à la Rue Caporal Beaux, là où en ce temps-là, habitait toute la famille de Elias Azoulay, jouaient Jacky et les enfants de la « Caserne ».
Les jeux variaient selon la « saison ». En été, durant les trois mois de vacances, ils s’en donnaient à cœur joie.