Le culte des saints et les pèlerinages des Juifs du Maroc
Le culte des saints et les pèlerinages des Juifs du Maroc
Le culte des saints et les pèlerinages des Juifs du Maroc
Alors que de nos jours, il est courant de s’inviter les uns chez les autres pour un repas de Shabbat que ce soit le vendredi soir ou samedi midi, au Maroc c’etait une coutume qui ne se faisait pas du tout.
Revenir aux sources et nos origines sépharade marocaines à travers l’humour, le kiffe & good vibes. Un excellent sketch de Orel Gozlan sur ce qui se passe dans les synagogues Marocaines
À l’aube du 7 octobre 2023, des milliers de Palestiniens, majoritairement membres du Hamas, du Jihad islamique et d’autres factions terroristes affiliées, franchissent la frontière sud d’Israël. Ils ne viennent pas « libérer la Palestine », ni combattre des soldats. Ils viennent violer, torturer, massacrer, brûler vifs des civils. Hommes, femmes, enfants, vieillards, nourrissons. Et ils le font avec une jouissance assumée, filmée, diffusée.
On dit qu’avant d’entrer dans la mer, une rivière tremble de peur. Elle regarde en arrière le chemin qu’elle a parcouru, depuis les sommets, les montagnes, la longue route sinueuse qui traverse des forêts et des villages
L’histoire que le monde raconte du Moyen-Orient comporte un chapitre manquant – un chapitre arraché, brûlé et enterré. C’est l’histoire de 850 000 Juifs chassés de chez eux par ces mêmes régimes qui, aujourd’hui, ne cessent de sermonner sur les souffrances des Palestiniens.
L’écrivain et politologue arabe Amine Ayoub, résidant au Maroc, publie un texte inattendu intitulé « Israël doit cesser de s’excuser de son existence ». Voici les principales thèses de ce billet
Le Sahara occidental, colonie espagnole jusqu’en 1975, est contrôlé en majeure partie par le Maroc mais considéré comme un territoire non autonome par les Nations unies
Rabbins et intellectuels sionistes libéraux ou non orthodoxes s’interrogent sur les morts, la crise humanitaire et les violences des habitants des implantations en Cisjordanie
Une équipe de chercheurs israéliens vient de conceptualiser un traumatisme propre aux familles d’otages : une « perte ambiguë dynamique-statique ». Le terme, forgé pour qualifier l’expérience des proches après les enlèvements de masse du 7 octobre, décrit une existence prise en étau entre deux forces contraires
Malgré des pertes militaires, économiques et humaines considérables, la Russie ne semble pas disposée à infléchir ses ambitions. Avec un « stock » de plusieurs millions de réservistes, elle est prête à poursuivre le conflit, quels qu’en soient les coûts.