L’accord Hamas-Israël est détestable mais il faut le soutenir
Le nouvel accord est truffé d’idées fantasques qui n’ont aucune chance de se concrétiser.
Le nouvel accord est truffé d’idées fantasques qui n’ont aucune chance de se concrétiser.
L’histoire que le monde raconte du Moyen-Orient comporte un chapitre manquant – un chapitre arraché, brûlé et enterré. C’est l’histoire de 850 000 Juifs chassés de chez eux par ces mêmes régimes qui, aujourd’hui, ne cessent de sermonner sur les souffrances des Palestiniens.
Un important sondage d’opinion publique réalisé en Iran révèle un profond fossé entre les vues des citoyens et les politiques officielles du régime.
L’étude, basée sur une vaste enquête examinant les croyances, pratiques et attitudes au sein des populations juive et arabe d’Israël, met en évidence une augmentation marquée de l’observance religieuse et de la foi en Dieu chez les jeunes, les traditionalistes et les religieux, accompagnée d’un net glissement politique vers la droite.
Le 7 octobre 2023 restera comme un moment de rupture profonde dans l’histoire contemporaine d’Israël et du Moyen-Orient. L’attaque meurtrière du Hamas n’a pas seulement fauché des vies : elle a ravivé, au sein de la société israélienne, une mémoire collective marquée par des siècles de persécutions et de vulnérabilité.
Nous savons déjà que Volney, Alexander Keith, J.S. Buckingham, Alphonse de Lamartine, Mark Twain et Arthur Stanley s’accordent tous sur le fait que la ‘Palestine’ était » un désert parsemé de rares bourgades ».
Au cours de l’histoire, la ville sainte a connu plus d’un maître, et constitue un symbole pour plus d’un peuple. Tel un territoire, elle doit pouvoir se partager.
À l’aube du 7 octobre 2023, des milliers de Palestiniens, majoritairement membres du Hamas, du Jihad islamique et d’autres factions terroristes affiliées, franchissent la frontière sud d’Israël. Ils ne viennent pas « libérer la Palestine », ni combattre des soldats. Ils viennent violer, torturer, massacrer, brûler vifs des civils. Hommes, femmes, enfants, vieillards, nourrissons. Et ils le font avec une jouissance assumée, filmée, diffusée.
L’écrivain et politologue arabe Amine Ayoub, résidant au Maroc, publie un texte inattendu intitulé « Israël doit cesser de s’excuser de son existence ». Voici les principales thèses de ce billet
Rabbins et intellectuels sionistes libéraux ou non orthodoxes s’interrogent sur les morts, la crise humanitaire et les violences des habitants des implantations en Cisjordanie