7 octobre 2023 : Le massacre planifié, l’horreur assumée, la manipulation orchestrée

7 octobre 2023 : Le massacre planifié, l’horreur assumée, la manipulation orchestrée
À l’aube du 7 octobre 2023, des milliers de Palestiniens, majoritairement membres du Hamas, du Jihad islamique et d’autres factions terroristes affiliées, franchissent la frontière sud d’Israël. Ils ne viennent pas « libérer la Palestine », ni combattre des soldats. Ils viennent violer, torturer, massacrer, brûler vifs des civils. Hommes, femmes, enfants, vieillards, nourrissons. Et ils le font avec une jouissance assumée, filmée, diffusée.
Plus de 3 000 terroristes, bien entraînés, armés jusqu’aux dents, débarquent à moto, en pick-up, en deltaplane motorisé. Ils sont accompagnés de centaines de civils gazaouis, galvanisés, filmant avec leurs téléphones, pillant, hurlant de joie devant des cadavres mutilés. Ce n’est pas une émeute : c’est une opération militaire minutieusement préparée, avec pour but le meurtre de masse, le rapt, la terreur et la provocation maximale.
Des crimes contre l’humanité filmés en direct
Dans les kibboutz Be’eri, Nir Oz, Kfar Aza, Netiv HaAsara, les scènes sont indescriptibles. Des familles entières sont abattues dans leur lit, des enfants décapités, des bébés brûlés dans les bras de leurs parents.
À Be’eri, 108 corps seront retrouvés, parfois méconnaissables, certains ligotés et exécutés d’une balle dans la tête. À Nir Oz, plus du quart des habitants sont tués ou enlevés.
Au festival de musique Nova, près de Re’im, plus de 360 jeunes sont traqués, exécutés, violés, certains à genoux, d’autres courant pour leur vie. Des vidéos montrent des femmes humiliées, ensanglantées, exécutées après avoir été abusées sexuellement. Des tentes criblées de balles. Des corps calcinés dans des voitures prises au piège. Des survivants cachés des heures dans les buissons, entendant les rires des tueurs.
Les images proviennent en partie… des GoPro des terroristes eux-mêmes. Le Hamas diffuse ses crimes en direct sur Telegram, sur les téléphones des victimes. Des familles reçoivent les vidéos de leurs proches en train d’être massacrés.
Des civils palestiniens complices et enthousiastes
Ce n’est pas seulement une attaque militaire. Des centaines de civils palestiniens profitent de la brèche ouverte dans la clôture de sécurité pour se joindre au carnage. Ils pillent les maisons israéliennes, arrachent les téléviseurs, s’emparent des jouets d’enfants, saccagent des kibbutzim, lynchent des survivants.
Des témoignages de soldats de Tsahal et de secouristes de ZAKA parlent de scènes insoutenables : des enfants éventrés, des femmes démembrées, des familles entières brûlées vives dans leurs abris. Les viols sont systématiques, parfois en réunion. Des survivantes témoignent de pénétrations post-mortem. Les bébés sont égorgés devant leurs mères.
Loin de condamner, des foules acclament les « héros » à Gaza. Les réseaux sociaux gazaouis diffusent les images comme des trophées de guerre. Le Hamas distribue des bonbons. Les enfants dansent avec des drapeaux. Des caméras de chaînes arabes filment des Gazaouis ramenant des femmes kidnappées, les tirant par les cheveux, les frappant. Il ne s’agit pas d’une dérive : c’est une politique.
Le Hamas ne défend pas Gaza : il la sacrifie
Contrairement au mythe entretenu par de nombreux médias occidentaux, le Hamas ne « représente » pas le peuple palestinien : il l’utilise comme bouclier, comme chair à canon, comme outil sacrificiel.
Le 7 octobre n’est pas seulement un massacre : c’est un piège. Le Hamas sait qu’une telle attaque déclenchera une riposte israélienne massive. Et c’est précisément ce qu’il veut. Pourquoi ? Parce que les images de la riposte, diffusées hors contexte, serviront à accuser Israël de « génocide », à nourrir les manifestations pro-Hamas dans les campus américains et les rues d’Europe, à réveiller les vieux démons de l’antisémitisme masqué en lutte pour les droits humains.
Le Hamas n’a pas préparé de plan de repli pour les civils. Il a stocké ses armes dans les écoles, ses roquettes sous les hôpitaux, ses quartiers généraux dans les tunnels sous les crèches. Il empêche les Gazaouis de fuir, les menace s’ils obéissent aux ordres d’évacuation israéliens, et les filme ensuite en train de mourir.
Une stratégie médiatique de guerre psychologique
L’objectif est simple : inverser les rôles. Après avoir commis l’un des pires pogroms contre les Juifs depuis la Shoah, faire passer Israël pour le bourreau et Gaza pour la victime.
La technique est bien connue :
-Provoquer un crime monstrueux.
-Attendre la riposte.
-Filmer la riposte hors contexte.
-Accuser Israël.
Laisser les idiots utiles — journalistes complaisants, militants woke, ONG biaisées — faire le reste.
Cette stratégie fonctionne d’autant mieux que les médias occidentaux, gangrenés par l’idéologie postcolonialiste et par une complaisance envers l’islam politique, relaient sans vérification les chiffres du Hamas. Ces mêmes médias qui refusent de diffuser les images des crimes du 7 octobre pour ne pas « traumatiser », diffusent en boucle celles des ruines de Gaza, soigneusement montées, souvent mises en scène.
La vérité que l’on refuse de regarder en face
Le 7 octobre n’est pas une tragédie due au hasard, ni une action dans un contexte. C’est un choix. Un choix de barbarie, assumé, revendiqué, glorifié. Ce n’est pas une « résistance », c’est une régression de civilisation.
Ce n’est pas un acte de guerre, c’est un génocide programmé contre les Juifs, orchestré par des hommes qui ne veulent pas un État palestinien, mais la disparition pure et simple d’Israël. Un monde sans Juifs.
Face à cela, le silence complice de certains dirigeants, l’inversion morale des débats publics, et la haine d’Israël qui s’infiltre dans les discours politiques sont autant de trahisons de nos valeurs occidentales. Le 7 octobre 2023 restera une date maudite, non seulement pour Israël, mais pour l’humanité tout entière.

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